Llibres recomanats (març de 2002)

per elpuig — darrera modificació 2020-03-25T17:34:43+02:00
Comentaris de llibres llegits

 

Llibres recomanats (març 2002)

 

  • Tot et serà pres, de Pau Joan Hernández.

Aquest llibre és un llibre ple de sentiments. Té moltes idees, com l’acceptació de la mort, que és la  principal, també les grans amistats, el dret a morir dignament i l’amor entre un noi i una noia, que no pot durar gaire temps a causa de la malaltia del noi. M’ha agradat molt aquest llibre, he pogut veure com el noi s’enfronta a la malaltia, també he vist com gràcies a les seves amistats aconsegueix una mort digna i com té una història d’amor al final de la seva vida. És un llibre molt maco i que recomano de llegir. És el primer llibre que he llegit en català perquè només fa un any i mig que he vingut de Santo Domingo.

Bernalis Matos Cuevas (4t d’ESO)

 

  • Bèsties fantàstiques i on trobar-les, d’Ernest Salamàndric.

D’aquest llibre, el que més m’ha agradat ha estat la part de les bèsties, perquè les bèsties són ferotges, altres amigables, altres perilloses, d’altres carnívores, altres herbívores, etc.

Les descripcions de les bèsties que més m’han agradat han estat: l’acromàntula, el basilisc, el clabbert, la doxi, totes les classes de dracs, el erkling, el fwoger, el gnom, el hipogrif, el kelpie, el plimpi, el quintaped, el troll i el yeti. La raó perquè m’han agradat? Perquè són molt estranyes, et fan riure, són lletges, etc.

També m’ha agradat el llibre perquè surten bèsties dels llibres de Harry Potter. Dels apartats, el que dóna una breu història sobre el coneixement que els muggles posseeixen de les bèsties fantàstiques, amagatalls de les bèsties màgiques i explica per què hi ha problemes de magizoologia i classificació de la Conselleria d’Afers Màgics no m’ha agradat perquè t’avorreixes i quasi bé no es pot resumir. Però, tot s’ha de dir, a mi m’agraden els llibres d’aventura, de por, de bèsties fantàstiques, etc., com aquest.

Jennifer Calvillo López (1r d’ESO)

 

 

  • Mon père a arrêté de fumer, de Bruno Heitz.


Voilà l’histoire de deux enfants, un garçon et une fille, dont le père était un grand fumeur. Ils souhaitaient qu’il arrête de fumer et ils ont tout essayé: ils ont découpe des têtes de mort et ils les ont mises dans les boîtes d’allumettes, decoré la salle de bains avec des articles sur le cancer et sur le danger du tabac. Ils avaient même honte d’aller avec lui dans la rue parce qu’il puait.

C’est dans plusieurs occasions qu’ils ont pensé qu’il arrêterait. Le jour de son 40ème anniversaire pouvait être un bon jour, mais leur oncle lui a fait cadeau d’un boîte de cigarettes et ils ont fumé tous les deux pour le fêter. Un autre jour, il a acheté un vélo pour faire du sport mais il se récompensait avec un café et une cigarrette au bas des descentes.

Quand son collègue de bureau a arrêté de fumer et lui a montré les timbres anti-nicotine, les enfants pensaient que c’était vraiment la fois definitive. Cependant, ils étaient tout à fait trompés.

La nouvelle loi anti-tabac avait laissé les fumeurs un peu plus à l’écart mais ils se reconnaisaient entre eux à l’odeur ou à de petits gestes et ils se renfermaient n’importe où pour fumer et parler des tortures que les non-fumeurs leur faisaient subir.

Mais soudain, un jour, sa tête a fait un tour de 360º et après un rhume et une torticolis pour avoir dû monter son vélo par les escaliers (5 étages) et après être arrivé trempé par la pluie, il a fumé une cigarette qui lui a paru avoir un drôle de goût et il l’a jetée avant de la finir. Alors il a decidé de ne plus fumer.

Le lendemain il etait un peu repenti et il a essayé que ses enfants lui achètent des cigarettes, mais bien sûr ils ont refusé. Alors c’est lui qui a dû aller au tabac, mais celui-ci était fermé car c’était dimanche.

Il n’a donc pas pu fumer pendant le weekend et le lundi il ne pensait qu’à une cigarette, qui était en train de l’attendre dans la boîte à gants de sa voiture.

Mais quand il a eu la cigarette tant désirée entre ses lèvres et malgré son désespoir pour fumer, il l’a trouvée mauvaise, il l’a jetée et il a decidé tout seul de ne plus jamais fumer, volontairement, et pas par les inventions de ses enfants.

A partir de ce moment-là il ne parle que de bonnes odeurs. Maintenant, son nez peut sentir toutes les odeurs qu’il ne pouvait pas sentir avant et malgré tous les efforts de ses enfants, il n’a pas arrêté de fumer jusqu’au jour où il l’a decidé tout seul, même sans l’aide des timbres anti-nicotine ou des machins à l’oreille...

Cet homme a démontré qu’il avait une grande force de volonté et les enfants étaient très fiers de son père.

Xavier García García (2n de Batxillerat)

[Aquests comentaris van estar publicats a la revista Sota el cel del Puig, núm. 7, març de 2002.]